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christiane riedel interprète de rêves - Page 10

  • ET ENCORE UNE NOUVELLE !

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    Décidément, il y a beaucoup de nouvelles en ces temps-ci. Et la dernière toute récente m'a laissée surprise. Elle vient d'un rêve, elle vient de mon rêve de ce matin.

    Je vais vous en raconter brièvement l'essentiel.

     

    De la signification des directions

    Dans mon rêve, j'étais dans un grand bâtiment, comme un hôtel particulier, un ministère, voire un chateau style XVIIIème ou XIXème siècle. Je me trouvais dans l'aile droite de ce château, dans une grande pièce où j'étais également à droite. De grandes baies vitrées donnaient sur les jardins.

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    De là où j'étais je voyais des pièces s'ouvrir en enfilade sur la gauche.

    Tout autour, il y avait des gens et de l'animation.

    Puis je me traversais la pièce où j'étais à droite et j'entrais à gauche dans la pièce qui venait en enfilade. Je savais que je devais poursuivre mon parcours sur la gauche en suivant l'enfilade des salles.

    Interprétation

    Quel est ce bâtiment ?

    Un hôtel est un endroit où l'on passe pour dormir et on paie la chambre. C'est une image fréquente du cadre où j'interprète les rêves.

    Un ministère est un cadre officiel où des ministres travaillent. C'est là l'image du ministre, du prêtre - interprète de rêve qui accomplit son ministère, son sacerdoce.

    Un château est la demeure d'un seigneur et dans le cas présent, ce château désigne mon cadre de travail avec les rêves où je déclare que le rêve est la voix de Dieu, la demeure du Seigneur.

    Ce bâtiment représente donc mon travail avec les rêves.

     

    Je me tiens sur la droite.

    A la droite correspond la vision consciente de la vie. La droite parle de l’affirmation dans le monde extérieur, parle d'activité et d'expansion. La droite désigne aussi souvent la société civilisée, le monde masculin des idées et des normes. La droite peut encore représenter l'avenir.

    Ma position à droite dans ce château symboliserait donc mon activité actuelle dans le monde extérieur où je cherche à assurer dans l'avenir l'expansion du travail avec les rêves.

    Que vient alors m'indiquer le rêve ?

    "Puis je traversais la pièce et j'entrais dans la pièce qui venait en enfilade sur la gauche, je savais que je devais poursuivre mon parcours sur la gauche.

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    Sur la gauche

    La gauche désigne entre autres le retrait de la vie extérieure pour se tourner vers la vie intérieure, le contact avec l’inconscient. Il s'agit de se consacrer à des activités qui ne sont pas vues de l'extérieur. La gauche peut aussi parler du passé.

    Qu'en déduire ?

    Il me faut d'abord me demander pourquoi je reçois ce rêve ce matin. Que s’est-il passé précédemment ? 

    Il y a trois jours, j'ai déposé une note en vous rappelant les séminaires de novembre que j'ai mis en route vous permettre de vous familiariser au langage du rêve et de ses symboles. Il s'agit donc bien d'expansion dans le monde extérieur.

    Hier je dépose une nouvelle note : je cherche à ouvrir mon travail encore plus largement au public, je cherche à faciliter l'accès aux rêves à tous et en particulier à des personnes qui ont des moyens financiers limités : des tarifs particuliers sont donc possibles.

    Hier j'ai donc accentué le mouvement à droite.

    Et là, le rêve intervient imédiatemment et me montre la gauche. Le rêve m'indique ainsi de me mettre dans le retrait, c'est à dire de retirer mon programme des séminaires.

    Voilà donc la nouvelle. Les séminaires n'auront pas lieu.

    Ce n'est pas la première fois que le rêve vient interrompre brutalement mes prévisions. Déjà en octobre 2013, alors que je reprenais mes activités de l'année, un rêve avait surgi :

    Dans mon rêve, je travaille beaucoup à la cuisine et à table pour nourrir les personnes. Mon père arrive et me dit d'un air furax :

    " Ça suffit comme ça ! Y en a assez de préparer à manger pour les autres. Y en a assez de donner à manger aux autres ! Il te faut du temps pour ton livre !"

    Alors j'ai écrit " Ces rêves qui vous protègent et vous guérissent, thérapie du corps et de l'âme."

    Aujourd'hui je comprends que l'inconscient me détourne de ce que j'avais prévu et organisé pour les séminaires. Il me dirige vers autre chose qu'il me montrera le moment venu.

    Je fais mienne la belle formule du vieux sage de Küssnacht : "Laisser advenir".

    Et ainsi je me laisserai porter par le vent où il veut m'emmener.

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    A bientôt chers amis, blogueuses et blogueurs, avec amitié

    Christiane

     

    Illustrations

    Je remercie les artistes et les photographes dont les oeuvres m'ont permis d'illustrer mon blog.

    Château : fr.homeway.ca

    Pièces en enfilade : monavalotteblogue.wordpress.fr

    Fleur de pissenlit : imaginedanslebonsens.overblog.fr

  • UNE PETITE MERVEILLE

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    Mes chères blogueuses

    Mes chers blogueurs,

     

    C'est avec un vrai plaisir que je viens vous retrouver aujourd'hui. J'ai envie de vous raconter un petit rêve, une petite merveille, un petit rêve que j'ai reçu.

    Mais il me faut auparavant vous dire avec précision les circonstances dans lesquelles ce rêve est venu. Et pour une fois, je vais vous parler de moi plus personnellement.

    En octobre 2016, j'ai fait de la tachycardie. Le cardiologue m'a prescrit le top des top, deux médicaments du dernier cri : pour le coeur un bêtabloquant qui en régularise les battements et pour le sang, un anticoagulant, afin d'éviter l'éventuelle formation de caillots qui pourrait provoquer un accident vasculaire cérébral.

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    Catastrophe !

    Que vous dire ?

    Du jour au lendemain je me suis retrouvée épuisée, lourde et molle ; sans forces, éteinte, anéantie ; me voilà incapable de monter la toute petite pente de ma rue, encore moins les escaliers, je me traîne à grand peine, je passe de la taille 46 au 50.

    De surcroît, ces jolis petits comprimés roses ou en forme de coeur m'abrutissent, ils me transforment les neurones en glu et les méninges en gadoue, ils m'empêchent d'écrire une ligne, que ce soit pour mon courrier, mon blog, pour un article ou mes séminaires.

    Et je me surprends à fondre en larmes.

    Mais le pire reste à venir.

    Six mois plus tard, en mars 17, toujours sous traitement, toujours gourde, cruche, tourte, tartre, idiote, toujours nouille et empotée, je suis tombée et me suis cassé le bras.

    Cela n'a pas l'air bien méchant, mais, à cause de l'anticoagulant, le sang, devenu trop liquide, s'est répandu dans tout le bras, formant un énorme hématome de 40 cm, très douloureux.

    Je bénis le ciel de ne m'être pas cogné la tête contre l'armoire que j'ai frôlée en tombant. C'est ainsi que mon père est mort.

    Quand on constate l'hématome que j'ai eu au bras et la déchirure du muscle, il est évident que le choc sur la tête aurait entraîné...

    une hémorragie cérébrale...

    au mieux... la mort...

    ...au pire, le séjour en mort lente dans une maison pour handicapés, avec des frais que je ne puis assurer et mes enfants non plus.

    Je ne fais pas du mélo.

     

    Au contraire !

    J'ai appris à mes dépens que pour ce nouvel anticoagulant, il n'existe aucun contrôle de la viscosité sanguine et on ne dispose d'aucun antidote en cas d'hémorragie grave.

    J'ai aussi découvert avec effroi dans mon entourage plusieurs proches chez qui ce nouvel anticoagulant avait provoqué une grave hémorragie. Devant l'impossibilité de l'arrêter, les personnes ont du faire appel aux pompiers ; amenées d'urgence à l'hôpital elles se sont retrouvées avec un hématome géant, affaiblies et souffrantes.

     

    Bravo l'anticoagulant qui peut vous mettre en danger mortel !

     

    Je vous dirai clairement les sentiments que j'ai éprouvés devant ces dégâts.

    J'ai été révoltée de constater l'effet que ces produits ont exercé sur moi, sur mon organisme, jusqu'à le dénaturer et le détruire lentement.

    J'ai été effrayée de voir les mêmes ravages exercés sur d'autres autour de moi.

     

    J'ai lu sur les forums et les sites français ou américains des expériences navrantes et des avertissements

    J'ai entendu parler de médicament potentiellement criminel. Qui tient compte du principe de précaution ?

    Et pire, pour certains, il est question d'empoisonnement collectif.

    Empoisonnement collectif ? Parano ?

     

    Quoi qu'il en soit, pour mon humble personne, j'ai été épouvantée !

    Oui, épouvantée !

    Je suis la gardienne de mon corps et mon premier devoir est de le respecter et de le soigner correctement pour qu'il me porte et me permette d'accomplir ce que la vie attend de moi.

    J'ai donc repris le soin de ma santé en mains.

    De ma propre initiative, et en toute conscience, j'ai décidé de cesser d'être empoisonnée sournoisement, j'ai décidé d'arrêter très doucement et très progressivement le traitement prescrit.

    La question s'est posée alors : comment faire maintenant pour me soigner ?

    Et c'est là que la merveille a eu lieu, la nuit, en rêve :

     

    Je suis chez le médecin, assise en face de lui à son bureau. Il a des papiers devant lui. Il me regarde et me dit :

    - Écoutez, Mme Riedel, nous gardons votre dossier, parce qu'il vous arrive toujours des trucs impossibles, mais vous vous en tirez toujours !

     

    Je me suis réveillée et j'ai pleuré de reconnaissance.

    Je n'avais pas la solution, c'était à moi de la trouver, mais je savais que je la trouverai et que je m'en sortirai.

    Je suis allée chez mon médecin traitant, je lui ai fait part de ma décision, je lui ai apporté une lettre où je la décharge de toute responsabilité.

    Elle s'est inquiétée.

    Mais j'avais ma réponse :

    - Docteur, il faut que vous sachiez, j'ai reçu un rêve, je sais que je vais m'en sortir.

    Je lui ai raconté mon rêve, je lui ai offert mon livre " Ces rêves qui protègent et qui guérissent".

    Et j'ai cherché un autre cardiologue.

    Guidée par des synchronicités, je l'ai trouvé. C'est un monsieur plein d'expérience, affable, courtois. Il m'a prescrit des médicaments traditionnels et éprouvés.

    Croyez-moi : en cinq jours, je n'avais plus rien. Oui en 5 jours.

    Un souvenir me reste :

    Je vois le cardiologue examinant l'électrocardiogramme qu'il vient de me faire et je l'entends s'exclamer, surpris, heureux :

    - Oh Mme Riedel, c'est miraculeux !

    Alors je lui ai raconté mon rêve et il a souri.